Je suis prise dans la spirale des bouquins Hunger Games, le métro n'a jamais été aussi rapide, le mode automatique plus ou moins fonctionnel mais dangereux du "je marche en lisant" est activé... même jouer à GTA V ne me donne pas autant envie que d'allumer ma liseuse.
Au départ j'étais un peu réfractaire, l'idée du Battle Royale à la sauce US me semblait aussi foireux que tous ces merveilleux films (bouquins pour ce cas là) japonais et autres repris avec des acteurs au brushing parfait. Mais non, rien à voir. Même le film m'a plu, et m'a convaincue de lire les livres.
Par contre pour Game Of Thrones, j'ai assez rapidement quitté le navire. Mais je pense que j'ai laissé le thème fantastique derrière moi depuis un bon moment, suffisamment pour que les noms du genre "Aarya" "Eligouldir" et autres me soulent au plus haut point. Toutes les cinquante pages, il faut retourner en arrière pour comprendre qui est qui, EH OH peut-on aller du point A au point B plus simplement ? Appeler l'elfe Jacques et le dragon Médor ?
Bref. Sans transition.
C'est la première fois que je travaille avec une marque que je ne connais ni d'Eve ni d'Adam, et à moins que vous n'habitiez en Allemagne, elle vous semblera aussi obscure qu'à moi.
Hallhuber, c'est des vêtements classiques, beaux, et j'ai pas mal craqué sur le côté sixties londoniennes de pas mal de pièces. Ce manteau était tout ce qui me manquait, et il envoie du pâté, ouais.
Manteau, ballerines et sac Hallhuber
chemisier Asos
collants Chantal Thomass
Et de la bonne musique des années soixante de Londres ville (rayer la mention inutile) :