Brick Lane.

Je reviens tout juste de Leaunedonne city, là, alors tu vois, je suis trop jet-laggée, le mal de l'air (du train), si je raconte n'importe quoi NE T'INQUIETE PAS, c'est normal.

Je commence pas vraiment par le début, mais plutôt par le milieu.

Donc je reprends.

LONDON CITY, jour neumbeur tou.

Je peux résumer ça en une phrase : Brick Lane, c'est trop nul. Ouhlala tout est moche, ouhlala, rien à voir. J'ai tout claqué mon argent dans des trucs suuuuper moches, là tu vois, je retourne mes poches, y'a plus rien. PLUS RIEN. (je dis que tout est moche, pour essayer de relativiser, pour me dire que non, je n'aurais absolument pas eu besoin d'une Eurocard Mastercard Platinum Diamantum, tellement tout était trop canon bordel-sa-mè... je m'égare.)

La suite, Marcel.

Le truc du dessus, c'était un ENORME bâtiment avec que de la fripe, que de la fripe, que de la fripe, et des anglais sapés comme si c'était la fashion week. Et je dois avouer un truc, en moins de 24h, j'étais convertie. Oublié le chic parisien, faisons place à la folie londonienne, Adeline n'est plus, voici Madeline.

J'ai donc décidé de rester dans ce délire là. C'est comme ça que (vous me voyez pas là de suite maintenant, évidemment) je me retrouve collants blancs, mini boots, t-shirt imprimé gorille pas très sympatique, headband Pocahontas à plumes et tête d'animal mort en fer autour du cou. Dit comme ça, ça fait peur. Non, JE fais peur tout court, mais je m'en fous.

Bref, sinon, j'ai failli mourir un nombre incalculable de fois dans ce grand machin.

(Dédicace à Thibault, 10 ans.)

AH OUI.

J'ai un gros faible pour les sacs à dos militaires. Depuis pas longtemps. Parce qu'après coup, Alexander, c'est pas SI moche que ça. (ça fait wiiiiiiild-moi-je-campe-dans-la-forêt-je-suis-une-ouf-je-mange-des-lapins-VIVANTS.) (Ne mangez pas de lapins, c'est trop mignon pour être tué.)

Voilà, voilà.

Et cadeau Bonux : mon humour super développé, rieeeen que pour vous :

(pardon pour ce post hystérique, ça doit être ma playlist New Wave 80)